La montée vers la Charmette est bien longue, la remontée vers le Col de la Petite vache est difficile – portage poussage dans de gros cailloux chartrousins – et la traversée du plateau est rendue laborieuse par la terre humide, qui glisse et colle aux roues. Les mouflons s’enfuient à mon arrivée. Mais une fois passée la cabane des Banettes, on enfile 1500m de descente soutenue, à peine interrompue par quelques centaines de mètres de goudron à Mont Saint-Martin. Et dans ces couleurs émergentes de l’automne, quel pied:

Sans titre

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