Dent de Moirans

Voilà un moment que je n'étais pas monté sur ma colline favorite. Le beau temps est encourageant ce soir, et malgré une semaine difficile, ça permettra de prendre l'air.

Je suis un peu à la peine dans les montées le long de la Voroize, je paye une semaine de déplacement avec plusieurs vols, plein de restos, des nuits courtes et pas mal de bière.

La montagne à changé de saison, et la neige n'est presque plus visible sur la Chartreuse.

Sans titre

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Tour de Roche Noire

Pour ce dimanche ensoleillé, Yo et moi partons sur un tour typiquement belledonnien: des cols hauts perchés, des vallons sauvages et des vues saisissantes sur les sommets.

Au départ du Rivier d'Allemont, nous remontons vers le vallon de Roche Noire mais assez vite, il faut tirer à gauche. Un bon ressaut plus tard, nous montons vers le lac de la Balmette. Il fait chaud, la neige est déjà ramollie.

Le Grand Pic se dévoile alors.

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Deux gars sympas sont juste devant moi. Le premier fera une trace parfaite.

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Le Lac de la Balmette, plus petit à mesure que l'on s'élève.

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Et voilà le Col de la Balmette, et le Pic Lamartine sur la droite.

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Vue sur l'autre côté: Col de Freydanne...

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...et les arêtes du Grand Pic jusqu'à la Croix de Belledonne.

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Je suis arrivé bien en avance par rapport à Yo, je devrai l'attendre pendant plus de 3/4 d'heure dans le vent. Lorsqu'il arrive, je suis un peu congelé.

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La descente sur l'autre versant est dure. Mais vraiment dure. Les carres ne mordent pas, c'est encombré de boules gelées, nous décidons d'en faire un bout à pied plutôt que de risquer la chute.

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La suite de la descente sur le Lac Blanc est plus agréable. De bonnes sections de neige transfo rattrapent bien le coup.

Au pluviomètre, nous remettons les peaux et partons vers le Col de Roche Noire, 400m plus haut. Il fait chaud, je mets le pilote automatique jusqu'au col. Yo me rejoint 1/2 heure plus tard.

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La descente du vallon de Roche Noire est trop ramollie pour être agréable: le manteau neigeux est mou jusqu'au fond, et on fait un peu du ski nautique.

Bien content de ce joli tour néanmoins.

Col de Montaud

Il pleut cette semaine pour la sortie du vendredi. A peine j'arrive à la maison pour me préparer que l'averse redouble. C'est heureusement de courte durée, et ce n'est que bien plus haut, dans la dernière montée au Col de Montaud que je reprendrais la pluie. Le terrain est ultra-boueux, les pierres mouillées, et l'adhérence bien sûr précaire!

Bref, l'ambiance est bien différente du soleil de la semaine dernière. Il y a même un vieux névé qui résiste, pile au Col.

Bouillasse au Col de Montaud #mtb #lasortieduvendredi

La descente sera boueuse et technique.

Tour du Néron

Et hop! Un petit Tour du Néron entre midi et deux, de quoi profiter du soleil en gardant la forme!
Cette fois j'ai le temps de passer par Les Brieux et ses beaux sentiers en sous-bois lors du retour à la Monta. Bien plus agréable que la route!



Combiné grenoblois

C'est un des privilèges du printemps: en bas, on attaque les activités estivales au soleil, dans des températures agréables. En haut, il reste de la neige, il peut faire froid et on glisse encore sur les skis.

Vendredi soir, après un départ tôt du boulot, j'arrive à boucler une belle visite des bois de Proveysieux avant de récupérer les enfants. Plusieurs beaux sentiers au programme, dont le Charpenet, qui s'atteint après un portage rude sur 200m de dénivelé.

Les mouflons de Chartreuse descendent à proximité des hameaux.

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Ce samedi matin, il faut que j'essaye mes nouveaux skis de fond. Eric déclinera finalement l'invit', mais Yo est dans le coin. Du parking pour Gève, je me dirige vers la Molière. La montée est assez rude aussi, avec d'innombrables ressauts raides à franchir avant d'enfin goûter à la vue depuis la Molière.

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Il y a de très beaux passages dans la descente, dont une section plat-descendante à flanc, où je profite de la glisse sur une piste impeccable. De bonnes sensations aussi dans les passages sous la Grande Brèche, pour finalement rencontrer Yo au niveau du refuge de Gève. Le bougre est sacrément affuté, et sa technique est sans conteste meilleure: il me met d'emblée un écart impossible à rattraper. Nous finissons par la descente sur le parking, à bonne vitesse.

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